BIBLIOTHEQUE de Saint-Sulpice-la-Forêt
Réouverture de la bibliothèque lundi 9 septembre 16h30
Détail de l'auteur
Auteur Pierre Péju
(1946-....)
|
Documents disponibles écrits par cet auteur (2)
Affiner la recherche

(impr. 2009)
Titre : |
L'idiot de Shanghai : et autres nouvelles |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pierre Péju (1946-....), Auteur |
Editeur : |
[Paris] : Gallimard |
Année de publication : |
impr. 2009 |
Collection : |
Folio |
Sous-collection : |
2 euros |
Importance : |
1 vol. (110 p.) |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-039906-2 |
Prix : |
2 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
«Je ne crois pas qu'il soit possible d'écrire des livres... vraiment nouveaux. Un livre, ça se copie, ça se recopie, mais ça ne s'invente pas. Il n'existe que très peu de livres. Ou bien un seul. Pas même un livre... Ne rien créer : reprendre... Songez-y, pendant qu'il est encore temps.» Pierre Péju, à travers trois nouvelles subtiles, nous propose une réflexion pleine de finesse et d'humour sur l'écrivain et ses personnages. |
|  |

(2000)
Titre : |
Naissances |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pierre Péju (1946-....), Auteur |
Editeur : |
[Paris] : Gallimard |
Année de publication : |
2000 |
Collection : |
Collection Folio num. 3384 |
Importance : |
127 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-041416-1 |
Prix : |
25 F |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Ce livre tente de dire la «venue au monde», le banal miracle de chaque naissance. Car la naissance est comme le trépas, le passage invisible dont nous ne savons pas, ne pouvons pas parler.Trois naissances singulières sont ici relatées.La première est terrible : dans un camp de prisonnières, une femme accouche dans des conditions atroces sous l'?il de soudards excités. Mais soudain, les hommes se figent : l'enfant est là, et sa fragilité, incroyablement, leur en impose.Si la deuxième naissance est tragique, la troisième, enfin, est heureuse : le nouveau-né surgit «dans les mains de l'ange». Il a la perfection de toutes les vies nouvelles. Ses grands yeux s'ouvrent comme une énigme.Mais Naissances est aussi parole masculine, celle qui évoque le «regard du père», ce regard ambigu que l'homme porte sur celle qui met au monde. Intrigué par ce que vit la femme et qu'il ne vivra jamais, fasciné par l'être inimaginable dont il devra admettre qu'il est le père, l'homme ne peut que se tenir dans une marge étrange lorsque s'annonce le nouveau, lorsque l'enfant paraît. L'homme, voué à ne mettre au monde que des choses, ou, au mieux, des livres dont il ne sait jamais s'ils sont morts ou vifs. |
|  |